Descartes, étant considéré le père du rationalisme européen, se faisait des cheveux blancs en essayant de découvrir qu’est ce qu’était vrai et ce que n’était que des spéculations. Il avait le même problème que quand on essaye de touver n’importe quoi a l’Internet. Et il a du finir trois chapitres du discours de la méthode pour arriver au ineffable ‘cogito ergo sum’. Il va nous être nécessaire de lui faire retourner pour nous exprimer qu’est ce qu’il nous faut pour exister au www et surtout qu’est ce que c’est vrai, ce que n’est pas pareille que vraisemblable.
Être, exister, au réseau c’est bien plus simple que auparavant, car il ne nous faut même pas faire exhibition d’un comportement intellectuel quelconque. Maintenant l’histoire semble être ‘I link therefore I am’[1], ou encore plus facile a l’inverse, apparaître dans une recherche de Google ce que, compte tenu de l’inclination de Google aux réseaux sociaux, n’est pas vachement difficile, parce que il nous suffit de nous inscrire au facebook ou linkedin pour être trouvé dans une recherche pour ton nom des centaines des fois. De plus en plus, grâce a la COMEXT, Internet c’est une copie de charbon du monde ‘de dehors’ avec a chaque fois plus d’événements propres, donc il nous faut faire la plus trivial des choses dans n’importe quel des deux mondes pour s’enregistrer et exister pour Google.
Quant au problème de la vérité, Descartes a été un tout petit peu chenapan. Un peu plus tard du cogito ergo sum, il entre dans des marais et pour sortir il met Dieu dans la pommade. Mais oui, après d’être allé si loin dans son rationalisme, comment savoir avec certitude si ce que ses sens le disaient était vrai ? Forte facile. Premièrement on démontre que Dieu existe –personne n’allait le contrarier a ce jour la- et après on nickele en dissent que, bien que tes sens ont la tendance a te tromper, Dieu c’est la pour ne pas permettre, justement car il est infiniment sage, tes sens te transmettre des bêtises. Et, maintenant, dans cet age de incroyance, qui pourrait m’assurer que quelque chose c’est vrai, justement quand on a plus besoin, quand on navigue des mers des infos, mais on manque de la connaissance ? Bon va, voila: wikipedia! Mais oui, l’intersubjectivité faite chair. (J’imagine que Larry Sanger, père et, ou, mère- de la wikipedia savait déjà quelque chose quand il s’amusait avec des problèmes cartésiens pendant son doctorat).
Voila la doctrine que nous reste de cette jolie fabule: Au monde de la COMmunication EXTended la vérité c’est un patrimoine de la